top of page
WhatsApp Image 2025-02-19 at 17.23.01.jpeg

le syndrome du scorpion

Qu'est-ce qu'un vieux bœuf ?

Le syndrome du scorpion est un spectacle à 9 clowns, en collaboration avec le Collectif du Scorpion (@lesyndromeduscorpion sur instagram),  écrit et mis en scène par Pierre Marzin, avec Antonin Bridard, Anna Eychène, Adrien Gross, Madeleine Mainier, Corinne Mériaux, Laëtitia Leroy, Christine Phimphrachanh, Lisa Sotiropoulos, Alexis Vanderhaegen.

Découvrez notre travail les 3, 9, 10 et 17 mai 2025 à l'Attrape-Théâtre (métro Avron). Réservations obligatoires : 0768359620

Pour cette bande de clowns, l'évidence n'est pas une fin en soi, mais bien un point de départ, un tremplin pour prendre de l’altitude. Car à leurs yeux, l’évidence vue d'en haut dissimule un monde inexploré.

Dossier artistique du spectacle

WhatsApp Image 2025-02-19 at 17.23.36.jpeg

LE MOT DU METTEUR EN SCÈNE

Le parti pris de ma démarche est moins de permettre aux acteur·ices de nous livrer les fruits de leurs expériences que de les amener au fur et à mesure des répétitions vers le monde de l'expérimentation au présent.

Une telle démarche conduira les acteur·ices à se placer dans la situation de savant·es fous·folles qui mélangent le fluide de leurs pensées dans la même éprouvette sans mesurer les conséquences d’une telle expérience. Ce placement permettra aux personnages et au public de se retrouver à certains moments dans la même position : celle de témoin de la réaction chimique. Dans ce but, les acteur·ices seront amené·es à considérer le texte comme un acte déclencheur qui, au-delà du sens, serait doté d’un pouvoir actif sur leurs capacités d’émerveillement, de bouleversement, de révolte, de joie, de tristesse.

Pierre.jpg

Constamment placé·es dans cette position émotive plus qu'intellectuelle ou spirituelle, les acteur·ices entraîneront alors leur personnage vers une certaine fragilité, une certaine vulnérabilité. Leur restera ensuite à trouver l’expansion, la dilatation, l’exubérance de leur personnage, qu’il s’agisse de leurs états d’âme, de leurs attitudes, du choix de leurs costumes, etc... Tous ces aspects contribueront à inscrire chaque personnage dans une dynamique clownesque.

Certes, l’aboutissement d’un projet comme celui-ci fait appel à la disponibilité, la générosité, l’imagination et l’adhésion de tou·tes. Mais, l’acteur·ice reste le coeur de cette réalisation. Plus qu’interprète, il.elle doit lui.elle aussi en être l’auteur·ice. C’est ce faiseur d’images-là qui donnera toute sa valeur au mot spectacle.

Pierre Marzin

bottom of page